Mamaque c'etait trop coooooool cette fete de la Saint Jean!
Trop de gens gentils, mega feu de camp, mega piscine exterieure, mega barraque dans la foret, mega voiture pour aller a la mega barraque dans la foret, mega repas avant d'aller a la mega voiture qui amene a la mega barraque dans la foret, mega accent quebecois de partout, c'est de la bombe je veux etre mega bilingue!
Beaucoup rit, (pas) beaucoup bu lol (maintenant tu sais ce que ca veut dire chanchan), beaucoup parle, beaucoup mange, beaucoup beaucoup de monde a cette party! C'etait trop bien!
Les maisons ici sont toutes immenses au bord d'un lac ou avec une piscine, je vais songer a m'installer la finalement :D
Je declare cette semaine, la meilleure semaine du monde
je suis gaie tout me plait la lalala lala (ton de gogole de dany boon)
Super humeur, la vie est belle, les journees sont tres remplies et ne se ressemblent pas, j'aime ca, vive l'aventure!
Apparement je suis embarquee dans une party samedi soir avec un bon gars bien sympa avec qui Lyne (la grand mere des enfants) essaye de me matcher depuis que je suis arrivee, ale il reste 2 semaines Lyne tu vas y arriver loool
Et moi jdis une party remplie de djeuns canadiens, va y avoir a raconter les enfants, preparez vos lunettes parce que au bout de la 150eme ligne vous allez avoir les yeux qui commencent a piquer :D
Peut etre meme ski nautique en cette fin de semaine tindindindin ca va chauffer les muscles, Ah oui et pendant que j'y pense, record perso de trekking poussette battu : 11 Km l'autre matin, pas mal hein?
En voila une semaine bien chargée. Ca a commencé comme un déjeuner sur l’herbe avec bébé, Mali and Me sur une couverture en train de se faire dorer la pilule (oui maman j’avais mis de la crème indice 530) puis y a eu le jardinage et le remodelage du jardin, sous 30 degrés (oui nous on est comme ca ici), avec tout plein de plantes et de fleurs (j’ai d’ailleurs pris des supers belles photos de fleurs avec la lumière de fin de journée), suivi par un apéro chez Anne Mac Cormick, la voisine américaine. C’est ensuite l’épopée du cheval de compet’ la faut que je développe, ça vaut le coup! Par une belle journée ensoleillée, je me suis rendue au centre équestre « Turtle Hill » pas trop loin de Hatley, pour enfin faire du cheval (je voulais depuis teeeeeeellement longtemps en faire, dans la campagne québécoise au bord d’un lac, trop bien, trop bien!) j’arrive donc, et la déjà 3 bergers allemands m’accueillent comme il se doit (vous connaissez mon amour pour les chiens…) mais je ne me démonte pas, je sors et en serrant les dents je leur passe au dessus, ok, je rencontre Chantal Coutu (un peu pet de sec) que j’avais eu au téléphone, et qui avait accepté de me faire monter son cheval (qu’elle avait caractérisé comme « fort »), malgré le fait qu’il ne faisait QUE de la compétition et PAS de randonnée. Elle me présente Rebecca, la jeune fille qui m’accompagnera, elle lui parle en anglais, nan je panique pas, ça va être simple st’histoire, si on doit se parler en anglais a un cheval d’écart…Bref, on va chercher notre cheval respectif, le mien s’appelle Viking, comme c’est délicat, ça annonce une promenade toute en douceur. En tout cas, il est super beau, couleur caramel avec une tache blanche sur les naseaux, c’est un étalon de concours qui a remporté plein de prix, qui vient d’être castré (pauvre lui), arrive le moment ou je dois le sceller et tout le toutim, comment ça se met ce bordel la, y a des lanières partout, ça remonte a loin la dernière fois que j’ai fait ça, inspire, expire Sarah, faut pas que la Chantal prenne peur et te recale maintenant.
Ok c’est bon tout est en place, j’ai même un petit tabouret pour m’aider a monter, elle doit vraiment me prendre pour une grosse nullarde lol. Une fois dessus je commence enfin à réaliser ce que « cheval de compétition » veut dire, c’est un truc de dingue, comme ils sont disciplinés par rapport a tous les chevaux bourrus que j’avais monté jusqu’ici. Je tire a peine sur les rennes pour le faire stopper, que le cheval recule, aaaaah comment que ça marche cette bête lô! J’ai pas du tout apprit a monter un cheval de compet’ je vais mourrriiiiiiir (tout ceci étant mes réflexions intérieures bien entendu, je leur fais, a elles, un beau sourire détendu du genre je gère Albert).
Alé hop peur de rien on est parties kiki, on rentre dans la foret, un gros bourdonnement de bois derrière nous, Rebecca me dit (en québécois accent anglais, accroche toi pour décoder) que ça doit sûrement être un arbre qui va bientôt s’écrouler, pas de quoi s’affoler, les chevaux peuvent juste, au pire des cas, partir en trombe. Au meilleur de ma forme, je me concentre autant que je peux pour rationaliser et me dire que je peux le faire, You can do it Super Nanny! On passe par des côtes de dinguos, il parait que c’est bon pour leur dos, j’aime autant pour eux que pour moi, vas y viking c’est bon pour toi! Shit je crois qu’il m’a entendu et en pleine montée il part un grand coup au trot, mais pas le petit trot qu’on connaît, ce cheval a une puissance phénoménal, je comprend ce que la nana a voulu dire par « il est fort », on double Rebecca et moi un peu les chtons qu’il accélère encore et c’est surtout que je connais pas le bout de la foret, j’essaye tant bien que mal de l’arrêter en tirant sur les rennes, et en essayant d’écouter Rebecca qui meugle « demi arrêt extérieur, demi arrêt extérieur », mais ça veut dire quoi çaaaaaa ???? Rebecca parle français pour l’amour du ciel, je commence a être grave loin et Viking a l’air parti sur sa lancée, Rebecca qui hurle « desserre tes étriers » et me rappelant les derniers mots de Chantal, avant de partir, n’ayant pas trouver ni de bottes, ni de chaps a ma taille, qui disaient : c’est pas très sécuritaire si ton pied se coince dans l’étrier… Bon c’est finit la rigolade, je tire un coup a droite, un coup a gauche, je me relâche, pour que le cheval aussi se relâche et bingo, j’y croyais plus mais il s’arrête. Miracle jsuis pas tombée !!! Une fois repartie je bombarde Rebecca de questions, au cas ou il me refasse le coup, qu’est que je doit faire, va falloir m’expliquer vos expressions lô.
Tout le monde se détend, un autre cavalier nous rejoins et finis la balade avec nous, on longe un lac avec un pêcheur a la truite arc-en-ciel dans son petit canot (d’après ce que j’ai compris Rebecca le connaît, elle monte le cheval du pêcheur pour l’entraîner). D’un coté rassurée et de l’autre triste que ça soit finit j’aperçois le centre équestre du coin de l’œil et Chantal avec ses chiens. Les paysages étaient super beaux, ceux la sont dans ma tête, je ne vous précise pas que j’avais pas prit tout le tintouin camera and Co sur le cheval. Vivante, détendue et contente de m’en être sortie, je ne reviendrais plus la avant d’avoir mon 5e galop.
Les jours qui ont suivi, ont été plus relax, on a amené Noa chez le coiffeur, lui faire une coupe a la Gi Joe tout court, il est beau comme un cœur, on a fait l’ouverture du magasin de notre copine de débauche Susan, après hop le soir un petit verre dans le resto de Corinne une autre copine (que des bonnes copines, l’une a un magasin d’épicerie fine et l’autre un resto, on reconnaît les 2 bouffes-tout : Sarah et Stef) et aujourd’hui c’était cirque des étoiles, ou jonglait François le cousin de Charles, c’est un cirque fait par des adolescents, super bien fait les numéros de trapézistes etc… et le soir pizzas a la pépinière avec les employés, très sympa et rigolo au milieu des fleurs.
PS : j’ai passe avec brio le test du « faisage » de sandwichs aux œufs ce midi, hourra ça c’est fait!
PS2 : Djack j'ai recu ton colis, c'est top!!! jte met une photo as soon as possibeul ;)
Aujourd’hui c’est la beauté de la nature qui a prit le dessus.
Il a fait chaud, les marrons chauds, mais même pas peur, nous ce matin on a fait travailler les biscotos, ratissage et ramassage des copeaux de bois éparpillés partout, après que les bûcherons (a y est j’en ai vu des vrais!) soient venus découper les rondins énormes qu’on avait devant la maison. Sous la chaleur, dur dur, avec en plus les enfants qui s’y mettait c’était folklo!
Cet aprèm forcement, qui dit beau temps, dit trekking poussette. J’ai repris un chemin que je n’avais pas fait depuis longtemps, le paysage était complètement différent, avec plein de fougères, des plantes et les arbres super touffus, comme au vrai printemps en gros ;p
Les bibittes sont de sorties elles aussi, c’est l’attaque des frapabords (mouches noires qui comment dire…empalent, en arrachant un bout de peau et en laissant un énorme bouton qui démange comme c’est pas possible, sympathiques bestioles) des moustiques et des petits papillons qui essayent de calmer le jeu. La dégaine du promeneur ou de la trekking nanny est assez cocasse, nette accélération à la détection d’une bibitte et mouvements de bras dans tous les sens pour essayer de chasser les 15 000 bestioles qui volent autour, elles m’auront pas, elles m’auront pas.
Pour l’instant, je me débrouille pas mal, trois piqûres de moustique seulement, pour une étrangère à la peau de blousse (mi-blonde mi-rousse) ça tient du record.
Par contre pour les plus grosses bestioles, à chaque petit bruit dans les fourrés, je sursaute comme une sauvage, j’ai trop peur de croiser un orignal ou un ours (merci grand papa Alain de m’avoir dit qu’il y en avait par ici!). J’ai d’ailleurs surprit des craquements de branches puis une ombre de chevreuil qui se sauvait sur ma droite, tant que c’est pas plus gros ça me va. Trekking poussette funky qui a finit en portage bébé dans une main et poussage poussette dans l’autre, Mali pleurait a fond, faut dire qu’il faisait super chaud, mais bon hey qui est ce qui poussait?
Et pour finir ce soir après notre (premier) repas gastronomique de vrais américains (double burger-frites) je me suis dit qu’une petite marche ne me ferait pas de mal, pour faire couler tous ces lipides (c’est ça Marta je me gourre pas?) et quelle bonne idée j’ai eu, déjà, je pars l’esprit léger sans enfant (on profite qu’il y ait maman ET papa ce soir) et je vais voir le coucher de soleil sur les vallons québécois, trooooop beau (je prend une photo pour vous montrer a quoi ça ressemble la prochaine fois) et en prenant un petit chemin de campagne, je vois un chevreuil qui bondit a tout va dans le champ juste a cote de moi, bon j’ai un peu de mal a détecter les animaux, ils sont tous couleur foret, donc va les voir entre 2000 sapins, la c’est parce que j’ai vu son petit derrière blanc quand il faisait le cabri. Et le petit coquin s’est arrêté un instant quand il m’a vu, il m’a fixé, je l’ai donc fixé aussi et la c’était magique, 2 bonnes minutes a se regarder sans bouger … puis zou il est repartit dans la foret comme si de rien n’était. J’étais bouche bée avec un sourire émerveillé, trop mignon comme expérience. Si on sympathise je vous mettrais 2 ou 3 photos de lui.
Faites de beaux rêves, moi je vais rêver de mon chevreuil, parce que les bûcherons c’est pas vraiment ça…
Susan nous a dit hier pendant notre ladies’ night en ville que les électriciens étaient canon, alé demain pour en avoir le cœur net, je fais péter les plombs :D
Y avait du monde! Toute la garderie de Noa etait de sortie, petits, en poupom-poussette (c'est des poussettes de 7 places, assez impressionant!) et grands en velo. Le tout encadre par un beau policier qui barrait le route, si c'est pas securitaire ca.
Et Noa en action, les 5 minutes pendant lesquelles il etait dessus, apres on a du se taper le velo a porter, ah quel sportif!
Aujourdh'hui sortie a Sherbrooke dans le parc Jacques Cartier, decouverte pour la premiere fois du centre ville, avant je ne m'arretais qu'a la pepiniere en suburb a Rock Forrest (delires les noms nan?). Ensuite super balade autour du lac, Noa et Mali avaient une copine chacun, ils etaient vraiment marrants a jouer ensemble les petits loulous.
Demain on remet ca, pic nique velo organise par la garderie de Noa, on y va tous, youhou ca va etre le fun!
Je vous mets des photos des que j'ai plus de temps, bisous!
A y est j'ai plus de temps :
...et pendant ce temps la Noa coursait les canards
Printemps plutôt chaotique pour ce mois de juin, soittttt on ne s’en fait pas, des que le soleil pointe son nez, on fonce dehors et on sort les tee-shirt. Hier, youpi, ce fut le cas, le matos du trekking poussette fin prêt, on prévoit les couvertures au cas ou, ici on ne sait jamais, le temps change super vite et zou baskets aux pieds et lunettes sur le nez, c’est partit.
Lilalala en musique je profite du paysage, Mali quant a elle a entamé la phase je roupille au fil des balibalos de la poussette. Je passe devant la maison de ma copine Jean, une américaine avec qui je fais la causette quand je me promène dans ce coin la, mais aujourd’hui Jean n’est pas la, je continue ma route et soudainement je constate comme une lumière au loin, serais-ce un ovni égaré de la zone 51???
Je baisse donc mes lunettes d’aviatrice, vu la vitesse a laquelle j’avance il faut au moins ça, et je regarde ça avec plus d’attention.
WOoo, un deuxième rayon lumineux dans le ciel! J’y crois même pas, ça ne peut pas être un éclair, y a un soleil fabuleux, le vent souffle, mais pas de quoi s’affoler.
Sentant l’entourloupe, je rebrousse chemin, on est jamais trop prudent.
Les nuages noirs commencent a apparaître et le vent se fait plus violent, tindindin même pas peur, je chantonne. Le gros bourdonnement et les éclairs se font de plus en plus massifs, je commence à activer le pas sérieusement, Mali dort toujours. Entre le footing et la ballade, j’imagine les pires scenarii, perdues en pleine campagne, entourées de plein d’arbres de partout, mamama je ne veux pas que la foudre s’abatte sur nous Mali!!! Je couvre la poussette des deux couvertures, mais si ça se trouve les poignées de la poussette font guise d’antenne, ah horreur absolue!
Je commence à me dire que je devrais faire du sport plus souvent parce que je commence a avoir le cœur qui fatigue, environ une palpitation toutes les 20 secondes.
Mais la c’est la cata, une goutte sur ma main, j’accélère encore plus, peut être que c’était un pipi de Cardinal (très jolis oiseaux rouges, dont un couple a établit son campement dans la vigne vierge de la véranda)…
Hum non non, c’était bien ce que je craignais, je sens une deuxième goutte, naaaaaaaaaan pas ca! C’est tout noir partout, sachant que la densité des maisons en campagne estrienne est assez désuète et qu’à 14h tout le monde travaille, on est mal, on est mal, je tente même pas de m’arrêter à une maison pour téléphoner, je carbure à fond pour rentrer le plus vite possible! Trois gouttes, quatre gouttes, c’est le début de la fin, la pluie qui avait commencée molo, s’intensifie et on arrive petit à petit à la grosse averse. La maison doit être à ½ kilomètre, c’est mort je vais être trempée, pour information je cours toujours. L’orage tonne à fond, les éclairs sont un coup à droite, un coup à gauche, court Forrest court!
Réfléchissant pendant ma course effrénée vers la maison, je me dis que Steph doit être au 400 coups et que si elle est partie en voiture à notre recherche (merdas j’ai oublie de lui dire vers ou j’allais) c’est pas la peine de m’arrêter pour appeler, donc tant pis je trace, tout manque de tomber, mes écouteurs, mon pull, mon sac, les couvertures, ah génial Sarah cette idée d’aller se promener!
Le tonnerre est à son comble et la pluie n’en parlons meme pas. Une fois passé le panneau d’Hatley, j’aperçois la voiture de Steph, avec les fenêtres tintées c’est pas évident, mais y a pas non plus foule dehors, donc je ralentit et oui c’est bien elle, seul hic je suis à une minute de la maison, je lui dis que je continue à pied, Mali dormant toujours comme une masse (le tonnerre ah oui ou ça, meme pas vu???) on la réveille pas et je cours pour la dernière ligne droite. Ah y est je vois la maison, je monte la poussette à l’intérieur et je souffle enfin, j’en peux plus!! Laisse tomber le trekking de la mort.
Noa (que Steph a réveillé de sa sieste pour venir nous chercher) est effrayé par l’orage et se cache la tête dès que ça tonne, petit chou, pour Mali tout roule, pas une goutte sur elle, entièrement couverte par les couvertures, elle se réveille tout juste. De mon coté trempée comme une souche, je raconte l’épopée a Steph, tout en consolant Noa. On prend une photo pour immortaliser le moment et pis ça va bien les conneries, je fonce à la douche (je suis déjà pas mal pré-lavée).
20 minutes après, le soleil revient et Noa joue dans le jardin, en bottes en caoutchouc quand meme.
Vous avez dit variable le climat??
Et le soir pour finir en beauté, Steph a une pulsion, elle décide à 20h de virer toutes les plantes de la maison dehors (ah oui infime detail, il re-pleut) pour que Charles les embarque à la pépinière, la maison faisait office d’entrepôt pour l’hiver, y avait a peu près 5 plantes dans chaque pièce, sans compter tous les cactus qui hibernaient dans ma chambre. Noa trouve ça génial il nous suit partout, des feuilles fanées jonchent le sol, la terre archi sèche tombe partout et ne tient plus du tout le cactus, qui manque de tomber et que je retiens en me plantant tous les picots dans le doigts, bref c’est le désastre!
On finit la journée la balayette à la main, en train de ramasser tous les trucs par terre et croyez moi y en avait!
C’est pas facile tous les jours la vie de nounou :)
Et vous sinon bien?
Ce week end me revoila partie pour la city, on en profite une derniere fois, je ne pense pas y retourner avant juillet maintenant.
Peut etre d'autres photos vous attenderont d'ici dimanche, d'ailleurs bonne fete a toutes les mamans (j'ai du merite d'y penser parce que nous c'etait y a trois semaines au moins)
Mali et son nouveau maillot, so cute!
Noa et ses flotteurs en forme de smiley
'On est les bisons okayyyy' Meme dans l'eau Noa est habite par un animal, il imite les cris comme personne, en ce moment c'est les orques (on vient de louer sauvez willy, ceci explique cela, il fut un temps ou j'etais fille vache, je vous cache ma joie, steph maman vache, mali bebe vache et lui frere...vache, C'est ca vous suivez)
Quelques secondes apres mali prenait sa deuxieme tasse (au pipi, crotte de nez et cheveux, un peu cradingue la piscine en L rikiki, si tu veux faire des longueurs tu peux aller te rhabiller)
excursion dans les gorges de Coaticook, c'etait y a une semaine, mais mieux vaut des photos tard que jamais :
Le plus grand pont suspendu du monde 169 metres si mes souvenirs sont bons (et ils le sont toujours lol)
Poids tolere, y a de la marge alors faites peter le sirop d'erable !
Attention seance on pose l'appareil avec le retardateur et tout le monde dit cheese, evidemment c'est moi qui court et pour l'histoire fallait que je vous mette celle la, c'etait comment dire...un poil loupe
Deuxieme essai, cheeese (ah bah enfin calme et serenite sont de retour)
Une photo de paysage pour la route
